Le songe du dormeur et l’Amant à la porte du Verger
Un buisson de roses
Roman de la rose
Guillaume de Lorris et jean Meun, Paris ?, fin du XIIIe s..
BNF, Manuscrits, français 378, f. 13
© Bibliothèque nationale de France
Un buisson de roses semble naître du lit où l’amant-clerc rêve, à demi endormi ; mais Danger, avec sa massue, veille. Cette miniature, qui introduit les plus anciens manuscrits, s’inspire de l’arbre de Jessé. On peut l’interpréter ainsi : contrairement au propos de Jean de Meun, la procréation n’est pas libre, mais reste soumise aux interdits, particulièrement ceux de l’Église.
 
 

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