Dans sa fuite, Mary prend dans ses bras sa poupée, son double inanimé, malmenée comme elle par les autres pensionnaires. L'objectif du pensionnat de remettre sur "le droit chemin" celle qui est "sur la mauvaise pente", est inscrit dans ces trois premières cases. La et la blancheur répétées des plis et des portants des rideaux, des montants du lit, des barreaux de l'escalier semblent enfermer Mary, tels des barreaux blancs.
Le pensionnat est un univers clos, aux fenêtres fermées. Seule courbe traversant la troisième case carrée, la rampe de l'escalier semble le "guide" de Mary qui la conduit (ainsi que le lecteur) vers la quatrième case.