La création littéraire à travers les brouillons d'écrivains : manuscrits, premières ébauches, les différentes pratiques selon les auteurs (Victor Hugo, Zola, Proust, Queneau..).
manuscrits, génétique des textes, brouillons. <body> <table border="0" width="540" align="center" cellspacing="8" cellpadding="2" bgcolor="#FFFFFF"> <tr> <td> <H1><center><i>Les brouillons d'écrivains.</i></center></H1> <P><center>&nbsp;</center></P> </td> </tr> </table> <P><center>&nbsp;</center></P> <table border="0" width="540" align="center" cellspacing="8" cellpadding="2" bgcolor="#FFFFFF"> <tr> <td> <br><br> <b><BIG><a href="https://expositions.bnf.fr/brouillons/enimages/index.htm">La création littéraire</a></BIG></b> à travers les <a href="#brouillons ecrivains">brouillons d'écrivains</a> : manuscrits, premières ébauches, les différentes pratiques selon les auteurs (Victor Hugo, Zola, Proust, Queneau..). <br><br> <u><b>Brouillon d'écrivains.</b></u> <br><br> Le terme "brouillon" n'apparaît qu'en 1551, se définissant, un siècle après l'invention de Gutenberg, par rapport au manuscrit et à l'imprimé. Mais l'objet lui-même avait depuis bien longtemps déjà emprunté les divers supports de l'écriture : feuille de papyrus, tablettes de bois ou de cire... L'étymologie rattache le mot au germanique brod, "brouet", "bouillon". Ce sont bien là, en effet, les bouillonnements de la pensée que l'on donne à voir en présentant des manuscrits de travail, témoins des hésitations et des blocages, des renoncements et des reprises, des trouvailles et des recherches de leurs auteurs. Conscients de la part d'eux-mêmes qu'ils abandonnent dans leurs archives, les écrivains ont eu, et ont encore, à leur égard une attitude variable, – les détruisant ou bien les conservant dans leur totalité ou en partie pour les léguer à la postérité. Mais ceux qui, aujourd'hui, écrivent directement sur ordinateur laisseront-ils des traces de leur création ? Cette question en entraîne une autre sur ce que les manuscrits apportent d'irremplaçable à la connaissance d'un auteur et à la compréhension de la genèse de l'écriture. Si l'œuvre est "le masque mortuaire de la création" (selon Walter Benjamin), les brouillons n'en révèlent-ils pas le visage le plus authentique ? <br><br> <u><b><a name="brouillons ecrivains">Les brouillons d'écrivains.</a></b></u><br><br> <dd><b> manuscrits et écriture manuscrite </b></dd><br><br> L’appellation de "manuscrit" – qu’il soit caractérisé comme "moderne", "d’auteur" ou "de travail" – recouvre ici tous les documents autographes précédant le livre imprimé. Mais avant de devenir reliques convoitées par les collectionneurs, objets d’étude pour les chercheurs, et même sujets d’exposition, ces manuscrits n’ont trouvé leur place au cours des siècles que dans la mesure où s’est peu à peu affirmé le statut de l’auteur. L’histoire de leur conservation depuis le Moyen Âge est donc aussi celle de la reconnaissance de l’écrivain, culminant à l’époque romantique avec la consécration de tout ce qui désormais porte la marque de sa main. <br><br> Decouvrez aussi : <table> <tr><td><a href="https://expositions.bnf.fr/brouillons/expo/histoire.htm">manuscrits</a></td></tr> <tr><td><a href="https://expositions.bnf.fr/brouillons/expo/fabrique.htm">génétique des textes</a></td></tr> <tr><td><a href="https://expositions.bnf.fr/brouillons/expo/index.htm">brouillons</a></td></tr> </table> <br><br> <br> <center> <table border cellpadding="6"> <tr> <td align="center"> <h2><font color="#990000">BNF : les brouillons d'écrivains.</font></h2> </td> </tr> </table> </center> </td> </tr> </table> </body>