Les rudesses de la vie
Gervaise boite 
Gervaise par elle-même 
L'idéal de Gervaise 
Gervaise par Coupeau 
Gervaise par Goujet 

Gervaise n’avait que vingt-deux ans. Elle était grande, un peu mince, avec des traits fins, déjà tirés par les rudesses de sa vie. Dépeignée, en savates, grelottant sous sa camisole blanche où les meubles avaient laissé de leur poussière et de leur graisse, elle semblait vieillie de dix ans par les heures d'angoisse et de larmes qu'elle venait de passer.

Émile Zola, L'Assommoir,
 chapitre I.