José Herasio, corde élastique
Circo Heros
Tournée aux Pays-Bas, 1966
Centre national des arts du cirque, fonds Ariane Touzé
© D.R.
En débit de son apparente simplicité d’apparence comme d’usage, la corde élastique est un agrès paradoxalement complexe. La tension permanente exercée par le corps qui y prend appui rend l’équilibre de l’acrobate d’autant plus instable, mais offre aussi une surface de réception plus « confortable » qu’un câble d’acier pour y retomber à cheval ou sur les pieds. Discipline ancienne dont la pratique de la slackline pourrait être l’héritière, la corde élastique a longtemps été l’apanage des familles de cirque.
Sur cette photographie de 1966 José Herasio, propulsé haut par l’impulsion de la corde, tourne un saut périlleux au-dessus de la piste du Circo Heros, un établissement qui appartient à la famille Togni et qui s’est produit pendant près d’une décennie dans plusieurs pays d’Europe du Nord.
Sur cette photographie de 1966 José Herasio, propulsé haut par l’impulsion de la corde, tourne un saut périlleux au-dessus de la piste du Circo Heros, un établissement qui appartient à la famille Togni et qui s’est produit pendant près d’une décennie dans plusieurs pays d’Europe du Nord.
BnF, Éditions multimédias, 2021