Centre national des arts du cirque, site de La Marnaise
Salle d’entraînement de l’École nationale supérieure des arts du cirque (CNAC), à Châlons-en-Champagne
2016
© Photo Christophe Raynaud de Lage pour le CNAC
L’extension du Centre national des arts du cirque de Châlons-en-Champagne, c’est 1700 m2 d’espaces dédiés aux enseignements :
- trois grands studios d’enseignement et de création contigus, séparés par des pendrillons de couleur claire : un espace ‟grand volantˮ (hauteur sous grill 13,50 m) adapté aux ‟aériensˮ (trapèze ballant, tissus, corde verticale ou volante, cadre aérien...) ; une ‟salle à rebondsˮ réservée d’une part aux disciplines à propulsion comme la bascule coréenne ou hongroise, la balançoire russe et, d’autre part, à la pratique du trampoline pour le travail des figures de voltige et la préparation physique ; un espace dédié aux disciplines au sol (acrobatie, équilibres, jonglerie, portés acrobatiques, jeux icariens, équilibres sur cycle, roue Cyr ou allemande...) et à la pratique d’agrès tels le fil souple ou tendu, le mât chinois, pendulaire ou indien.
- une ‟boîte noireˮ (L 12m x L 12m x H 10m), salle vide et neutre, entièrement noire, modulable, au gré des travaux et formations spécifiques sur les lumières, le métier de technicien de cirque et, tout particulièrement, la magie nouvelle.
- trois salles ‟standardˮ : une salle polyvalente, une salle de danse, une salle de cours théoriques initialement installées dans le cirque historique.
- trois grands studios d’enseignement et de création contigus, séparés par des pendrillons de couleur claire : un espace ‟grand volantˮ (hauteur sous grill 13,50 m) adapté aux ‟aériensˮ (trapèze ballant, tissus, corde verticale ou volante, cadre aérien...) ; une ‟salle à rebondsˮ réservée d’une part aux disciplines à propulsion comme la bascule coréenne ou hongroise, la balançoire russe et, d’autre part, à la pratique du trampoline pour le travail des figures de voltige et la préparation physique ; un espace dédié aux disciplines au sol (acrobatie, équilibres, jonglerie, portés acrobatiques, jeux icariens, équilibres sur cycle, roue Cyr ou allemande...) et à la pratique d’agrès tels le fil souple ou tendu, le mât chinois, pendulaire ou indien.
- une ‟boîte noireˮ (L 12m x L 12m x H 10m), salle vide et neutre, entièrement noire, modulable, au gré des travaux et formations spécifiques sur les lumières, le métier de technicien de cirque et, tout particulièrement, la magie nouvelle.
- trois salles ‟standardˮ : une salle polyvalente, une salle de danse, une salle de cours théoriques initialement installées dans le cirque historique.
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BnF, Éditions multimédias, 2021