Los Españoles, barristes
Coliseu dos Recreios, Lisbonne, sans date
Centre national des arts du cirque, fonds Ariane Touzé
© D.R.
Empruntés à la gymnastique, les exercices aux barres fixes apparaissent sur la piste des cirques à la fin du XIXe siècle et jusqu’aux années 1960-70. Chaque troupe apporte sa touche au dispositif en multipliant le nombre de barres, en les alignant au même niveau ou à des niveaux différents, en en rehaussant certaines, en les gardant au sol ou en les accrochant à la coupole, jusqu’à en superposer neuf à plusieurs mètres au-dessus de la piste, comme Trajan Luppu.
Les Españoles montent une barre à un niveau supérieur aux autres en début de dispositif contrairement aux Marcoud-Banola qui la placent au fond afin de négocier un envol avec saut de la troisième à la première, un fly-over baptisé depuis un « banola ».
Les Españoles montent une barre à un niveau supérieur aux autres en début de dispositif contrairement aux Marcoud-Banola qui la placent au fond afin de négocier un envol avec saut de la troisième à la première, un fly-over baptisé depuis un « banola ».
BnF, Éditions multimédias, 2021