La formation polytechnique des artistes de cirque et de music-hall en fait des acrobates, des équilibristes, et souvent des jongleurs qui composent leurs numéros comme des plats, en cuisine, en combinant les ingrédients à leur portée.
Fred Stutzbarth, antipodiste, pimente ses performances en puisant dans les ressources de l’environnement quotidien. Il joue des mains et des pieds avec 4 lampes à abat-jour qui virevoltent et se croisent sans se toucher pour se poser toujours sur leur fond, ou lance un lit et sa literie d’une impulsion des jambes en anticipant sur son déséquilibre et le rattrape d’un ou des deux pieds, sur un côté ou sur le côté opposé.