Les grands exercices des Bédouins au Théâtre de la porte Saint-Martin
Le Magasin théâtral. Choix de pièces nouvelles jouées sur les théâtres de Paris, 2e année, tome 4e
Chez Marchant (Paris), 1835
BnF, département des Arts du spectacle, FOL-ICO CIR-48
© Bibliothèque nationale de France
La vogue de l’exotisme sur les scènes occidentales de la première moitié du XIXe siècle favorise la présentation de troupes acrobatiques capables d’accomplir des prouesses inédites. La conquête de l’Algérie en 1830 a motivé la curiosité du monde culturel pour l’Orient et incité les directeurs de salles à promouvoir les spectacles qui y font référence. Cet ensemble de dix acrobates de la tribu de Soutza possède un répertoire très large où l’on retrouve des exercices traditionnels, à l’instar du saut à la batoude, comme des performances inusitées à l’image du saut périlleux avec « des sabres sur les yeux »…
Cette estampe décrit les prouesses de la troupe lorsqu’elle s’est produite dans la pièce Les Bédouins en voyage, odyssée africaine en trois chants, traduits en bas breton et en vaudevilles par Monsieur Anatole de Beaulieu, représentée pour la première fois sur la scène du Théâtre de la porte Saint-Martin, à Paris, le 14 novembre 1835.
Cette estampe décrit les prouesses de la troupe lorsqu’elle s’est produite dans la pièce Les Bédouins en voyage, odyssée africaine en trois chants, traduits en bas breton et en vaudevilles par Monsieur Anatole de Beaulieu, représentée pour la première fois sur la scène du Théâtre de la porte Saint-Martin, à Paris, le 14 novembre 1835.
BnF, Éditions multimédias, 2021