Harmington dans ses créations nouvelles, dont l’llusion « La Stroubaika Persane »
Théâtre Robert-Houdin
Illustration de Georges Méliès (1861-1938), 1900
Lithographie en couleur
BnF, département des Estampes et de la photographie, ENT DO-1 (MELIES, Georges)-FT6
© Bibliothèque nationale de France
À l’affiche du Théâtre Robert-Houdin, que dirigige Harmington (Charles Fauque ), la « Stroubaika Persane », est la version comique d’une illusion d’escapologie et substitution qui fait sensation depuis sa création par Lutz et Markgraf, selon Albert A. Hopkins.
Les témoins décrivent une scène d’escamotage rapide, jugé incompréhensible : celui d’un illustre prisonnier, le Persan Djelfah-El Nadir, immobilisé par des fers sur la litière d’une sorte de palanquin entouré de draperies dont il se libère le temps de fermer et de rouvrir les rideaux, laissant la place à une jeune fille également mise aux fers.
Carl Hertz en Angleterre et en Australie, Alexandre Herrmann, Thorn et Darvin aux États-Unis et en Europe, Méliès, Duperrey et Harmington en France, notamment, l’ont présentée lors de centaines de représentations.
Source : Albert A. Hopkins, Stage Illusions Special Effects and Trick of Photography, 1898 ; réedition NY, Dover Publics, 1976.
Les témoins décrivent une scène d’escamotage rapide, jugé incompréhensible : celui d’un illustre prisonnier, le Persan Djelfah-El Nadir, immobilisé par des fers sur la litière d’une sorte de palanquin entouré de draperies dont il se libère le temps de fermer et de rouvrir les rideaux, laissant la place à une jeune fille également mise aux fers.
Carl Hertz en Angleterre et en Australie, Alexandre Herrmann, Thorn et Darvin aux États-Unis et en Europe, Méliès, Duperrey et Harmington en France, notamment, l’ont présentée lors de centaines de représentations.
Source : Albert A. Hopkins, Stage Illusions Special Effects and Trick of Photography, 1898 ; réedition NY, Dover Publics, 1976.
BnF, Éditions multimédias, 2021