Mistinguett avec un petit cheval debout, dans la Revue Paris qui brille !
Casino de Paris, 1931
BnF, département des Arts du spectacle, 4-COL-180 (150)
© Photo studio G. L. Manuel frères / Bibliothèque nationale de France
Dans l’un des tableaux de la revue Paris qui brille ! Mistinguett, vedette du music-hall, présente en liberté une petite cavalerie de poneys dressés par le maître-écuyer Jean Houcke et présentés habituellement, au cirque, par son fils Gilbert, jeune écuyer de 13 ans.
C’est fin 1893 que la carrière de Jeanne Florentine Bourgeois, actrice à la scène et à l’écran, danseuse et chanteuse, née le 3 avril 1875 à Enghien-les-Bains, commence au Petit Casino et au Trianon, à Paris. Saint-Marcel, responsable de revue, lui propose d’abord de se produire sous le surnom de Miss Helyettet qui évolue bientôt en Miss Tinguette, et enfin, « Mistinguett ». Pendant dix ans, elle fait la 2e partie du spectacle de l’Eldorado puis, en 1909, elle fait son entrée au Moulin Rouge jusqu’à ce que, remarquée par Maurice Chevalier, elle le rejoigne aux Folies Bergère fin 1911. En 1918, à la fin de la Première guerre mondiale où elle jouera un rôle, authentique, d’espionne, ils figurent à l’affiche du Casino de Paris… dont elle mènera un grand nombre de revues ou d’opérettes qui chantent Paris.
La grande porosité entre le cirque et le music-hall et l’intérêt personnel de Mistinguett pour les prouesses des acrobates et autres danseurs à cheval et sur le fil, lui rendent familière la figure du maître de manège qu’elle incarne, au féminin, pour mener des petits chevaux mal à l’aise sur le plancher du plateau malgré leurs fines semelles de caoutchouc.
C’est fin 1893 que la carrière de Jeanne Florentine Bourgeois, actrice à la scène et à l’écran, danseuse et chanteuse, née le 3 avril 1875 à Enghien-les-Bains, commence au Petit Casino et au Trianon, à Paris. Saint-Marcel, responsable de revue, lui propose d’abord de se produire sous le surnom de Miss Helyettet qui évolue bientôt en Miss Tinguette, et enfin, « Mistinguett ». Pendant dix ans, elle fait la 2e partie du spectacle de l’Eldorado puis, en 1909, elle fait son entrée au Moulin Rouge jusqu’à ce que, remarquée par Maurice Chevalier, elle le rejoigne aux Folies Bergère fin 1911. En 1918, à la fin de la Première guerre mondiale où elle jouera un rôle, authentique, d’espionne, ils figurent à l’affiche du Casino de Paris… dont elle mènera un grand nombre de revues ou d’opérettes qui chantent Paris.
La grande porosité entre le cirque et le music-hall et l’intérêt personnel de Mistinguett pour les prouesses des acrobates et autres danseurs à cheval et sur le fil, lui rendent familière la figure du maître de manège qu’elle incarne, au féminin, pour mener des petits chevaux mal à l’aise sur le plancher du plateau malgré leurs fines semelles de caoutchouc.
BnF, Éditions multimédias, 2021