Ces taches, obtenues par grands coups de crayon lithographique, semble-t-il, rappellent celles des fonds de certains dessins de Jersey, et pourraient n'être qu'un fragment d'une composition plus vaste. Dans la vigueur de leurs traits, ces taches reflètent la violence de ton du pamphlétaire pourfendant Napoléon III. Hugo n'avait-il pas d'ailleurs noté : "Louis Bonaparte est mon essuie-plume". (Choses vues, 23 mars 1852).