Le peuple a faim, le peuple a froid. La misère
le pousse au crime ou au vice, selon le sexe. Ayez pitié du peuple,
à qui le bagne prend ses fils, et le lupanar ses filles. Vous avez
trop de forçats, vous avez trop de prostituées. |
||
Victor Hugo, Claude
Gueux, 1834 |
||