Dés à jouer
Inv. 13/759/4. XIe-XIIe siècles. Os ou bois de cerf, 1,39 x 1,51 x 1,51 cm
Inv. 14/513/1 XIIIe siècle. Os, 0,62x 0,62 x 0,62 cm
Inv. 16/1021/2. XIIIe siècle. Os, 0,63 x 0,66 x 0,67 cm
Inv. 17/183/2. XIVe siècle. Os, 0,78 x 0,73 x 0,73 cm
Inv. BOU/308/1 XIVe siècle. Os, 0,72 x 0,68 x 0,64 cm
Inv. 14/513/1 XIIIe siècle. Os, 0,62x 0,62 x 0,62 cm
Inv. 16/1021/2. XIIIe siècle. Os, 0,63 x 0,66 x 0,67 cm
Inv. 17/183/2. XIVe siècle. Os, 0,78 x 0,73 x 0,73 cm
Inv. BOU/308/1 XIVe siècle. Os, 0,72 x 0,68 x 0,64 cm
Saint-Denis, unité d'archéologie de la Ville de Saint-Denis,
Inv. 13/759/4,14/513/1, 16/ 1021/2,17/183/2 et BOU/308/1
Cliché Emmanuelle Jacquot/ UASD
Inv. 13/759/4,14/513/1, 16/ 1021/2,17/183/2 et BOU/308/1
Cliché Emmanuelle Jacquot/ UASD
À la fin de la période médiévale, une nouvelle règle est appliquée pour la disposition des points sur les dés à jouer. Avant le XIIIe siècle, tous les dés présentent une même ponctuation avec le 1 opposé au 2, le 3 au 4 et le 5 au 6. Les points sont communément indiqués par des ocelles.
Au cours du XIIIesiècle, la disposition est modifiée - le 1 opposé au 6, le 2 au 5 et le 3 au 4 - de sorte que l'addition des faces opposées donne 7.
Encore irrégulièrement suivi au XIVe siècle (dés 17/183/2 et BOU 308/1), ce changement est définitivement acquis à la période moderne.
Dès lors, les dés sont généralement de taille réduite, avec des points inscrits par des cupules. De nombreux rebuts de production témoignent de la présence de fabricants de dés, ou " déciers", à Saint-Denis à partir du XVIe siècle. L'analyse de ces déchets a permis de déterminer les étapes successives de fabrication à partir d'os de boucherie.
Au cours du XIIIesiècle, la disposition est modifiée - le 1 opposé au 6, le 2 au 5 et le 3 au 4 - de sorte que l'addition des faces opposées donne 7.
Encore irrégulièrement suivi au XIVe siècle (dés 17/183/2 et BOU 308/1), ce changement est définitivement acquis à la période moderne.
Dès lors, les dés sont généralement de taille réduite, avec des points inscrits par des cupules. De nombreux rebuts de production témoignent de la présence de fabricants de dés, ou " déciers", à Saint-Denis à partir du XVIe siècle. L'analyse de ces déchets a permis de déterminer les étapes successives de fabrication à partir d'os de boucherie.