Coup de vent qu'a reçu Monsieur de Benneville dans l'Elizabeth

Le 8 octobre 1725. Fait par d'Essonville, sous-brigadier des Gardes du Pavillon de l'Arsenal, à Brest. Dessin, plume et lavis d'encre.
BNF, Estampes et Photographie, Ic 7 Fol 30

Le bateau peut être foudroyé par l'orage, pris dans une tempête naufrageuse au cour de l'océan, et disparaître brutalement sans laisser de traces. Ici, dans une mer démontée, le navire est représenté selon différentes situations. Il subit un coup de vent inopiné, une vague déferlante géante le submerge et l'écrase de tonnes d'eau.