Gorges de Franchard, le seuil de la Roche qui pleure. Balagny. Vers 1877.

Autrefois, cette masse de grès laissait filtrer goutte à goutte une eau que l'on disait bienfaisante pour les yeux. C'est devant elle certainement que s'arrête Coriolis avant d'aller s'asseoir au petit café de Franchard : "Il épelait ces pierres qui ont le fruste de murs anciennement écrits, ces pierres millénaires griffonnées par le temps d'indéchiffrables graphies, et où l'eau de l'éternité a creusé l'apparence de sculptures d'une cave d'Elephanta. Il restait devant ces grottes béantes où le Désert semble rentrer chez lui, devant ces antres de bêtes féroces auxquels on s'étonne de voir aller, au lieu de pas de lion, des traces de breaks..." (Goncourt).