«Hanoï. 16, Pagode de Chùa Một Cột, vue prise du haut des gradins » •
Avril 1896
Firmin-André Salles
Photographie positive sur verre pour projection,
10 x 8,5 cm
© BnF, département des Cartes et Plans, Société
de géographie, Sg XCm 909
Du haut des escaliers de la pagode au pilier unique, on aperçoit les toits du temple adjacent.
À la fin du XIXe siècle, ce complexe religieux était situé à l'extérieur de la ville (administrative et commerçante). Le tissu urbain de ce quartier, situé à l'ouest de la citadelle, commença cependant à se densifier avec l'installation du palais du gouverneur général, du jardin botanique et de villas coloniales.
Firmin-André Salles a fait part de son souci quant à l'avenir des moines : « Pauvres Bonzes ! La nouvelle civilisation vient battre le gong à leurs oreilles ; elle va les priver, par la suppression des fossés inondés de la citadelle, de l'eau d'où émerge leur lotus de pierre et de bois, mais qui leur donne le riz nourricier ; elle leur montre leur mort là où ils voyaient la vie.
À la fin du XIXe siècle, ce complexe religieux était situé à l'extérieur de la ville (administrative et commerçante). Le tissu urbain de ce quartier, situé à l'ouest de la citadelle, commença cependant à se densifier avec l'installation du palais du gouverneur général, du jardin botanique et de villas coloniales.
Firmin-André Salles a fait part de son souci quant à l'avenir des moines : « Pauvres Bonzes ! La nouvelle civilisation vient battre le gong à leurs oreilles ; elle va les priver, par la suppression des fossés inondés de la citadelle, de l'eau d'où émerge leur lotus de pierre et de bois, mais qui leur donne le riz nourricier ; elle leur montre leur mort là où ils voyaient la vie.
