lendemain. Quant à Pépé, on verra.
Et le déjeuner - une bonne - (Notes C. 16) pour achever de poser
le magasin et les gens. La salle à manger par la petite cour
sombre. Déjeuner en deux fois. M. Baudu - murs patriarcales,
honneteté proverbiale -, Geneviève et Colomban, plus Denise
et les 2 enfants. Ce sera pendant le déjeuner que je poserai
toute cette idylle au fond de l'arrière boutique sombre. (Commencement
d'inquiétude chez Geneviève.) [Interlignes :] Geneviève
s'est accoutumée à l'idée, adore Colomban de toute
sa tendresse de fille laide figée dans son comptoir. Lui, d'abord
heureux de l'affaire, est pris par Clara [fin interlignes]. Le mariage
de Baudu et de sa femme, leurs enfants, Colomban et Geneviève.
- Parcimonie, Huile ménagée. Pas de dessert. Maladies
soignées, linge réparé. On couche Colomban. Pas
de nuit dehors, pas de dessert.
Puis la seconde table, Mme Colomban, le vendeur et la vendeuse. On est
revenu dans la boutique, Mme Baudu elle-même revient, alors sans
doute ce qu'il y a dans le paquet de Denise, la malle laissée
au chemin de fer. Les enfants, ce qu'on va faire de Pépé,
Mme Baudu parle de la petite pension. Ce que ça coûtera
à Denise, ce qu'elle apporte comme argent. Où va Jean.
Mais avant tout, le retour du Bonheur
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