Zola a consacré de nombreuses pages à cet artiste, un de ses paysagistes préférés avec Corot. Dans son Salon de 1868, il rend compte d'un tableau intitulé Vue de la rivière d'Overschie, près Rotterdam. Il y apprécie l'étude du miroitement de l'eau, comme chez Monet, et il note la "clarté heureuse de cette toile". Chez celui qu'il qualifie de "maître intime qui pénètre avec une rare souplesse dans la vie multiple de la nature", il a salué auparavant le fils de cet "âge qui s'intéresse à la tache claire ou sombre d'une barque, aux mille petites existences des herbes", considérant que "c'est à coup sûr un des premiers peintres de marines de ce temps". Et dans La Cloche, le 24 janvier 1872, il publie une longue étude sur Jongkind où il étudie ses marines et aussi ses peintures des horizons du Paris moderne.