"Loisirs naturalistes"
par André Gill, La Petite Lune, avril 1879
Pour Zola, Hugo et les romantiques
appartiennent à un passé révolu. Après l'avoir
admiré dans sa jeunesse, il ne cessera plus de critiquer ce
qu'il considère comme de l'outrance et du sentimentalisme. Ces attaques
du jeune romancier contre le grand vieillard, devenu une institution de la
République, ne sont pas prises au sérieux par Gill. On peut
noter l'apparition du pot de chambre - encrier qui va devenir un thème
récurrent de la caricature de Zola.