Pèlerinage
Roman de la rose
Guillaume de Lorris et jean Meun, Paris, début du XVe s..
BNF, Manuscrits, français 12595, f. 1
© Bibliothèque nationale de France
S’étant levé, le rêveur se lave les mains et sort de la ville. Dans la prairie où serpente paresseusement une rivière, il coud ses manches. Ainsi, « propre » et élégant, il parvient à une claire rivière au-delà de laquelle s’ouvre un autre monde, celui de la courtoisie, de la noblesse de coeur. Pour y être admis, propreté et élégance doivent être tranfigurées en vertus et en sagesse « aristocratique ».