« Car quant Guillaumes cessera, Jehans le continuera », v. 10591-10592
« Car quant Guillaumes cessera, Jehans le continuera », v. 10591-10593
Roman de la rose
Guillaume de Lorris et jean Meun, Paris, 1er quart du XIVes..
BNF, Manuscrits, français 24390, f. 30
© Bibliothèque nationale de France
Suivant très exactement le Roman (v. 10589), les deux auteurs écrivent chacun sur leur pupitre les premiers mots de leurs textes ; à gauche, Guillaume de Lorris inscrit « Mout de gens dient que un songes n’a se fable… »
 
 

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