[notes
d'un traité sur l'alcoolisme]
Premiers détails chez lui. Ivresse d'abord gaie. Le bon appétit.
La graisse, cauchemars, faiblesse. Pituite, ne mange plus, ne sort plus,
tremblements léger des mains, chatouillement, etc. Picotement
à la peau, pied et main, froid et chaud anormaux, crampe, faiblesse
des jambes et tremblement des mains, éblouissement. Bourdonnements.
Etourdissement. Vert. Crampes.
Première maladie. Une fluxion, on l'envoie à Saint Anne.
Délire alcoolique passager. Rapide.
Il rit de ses cauchemars. La peur le reprend le soir. On le guérit.
Le sommeil le répare, la continence le guérit. Délire
alcoolique faible. Ses mains tremblent seulement.
Chez
lui, dans l'autre chapitre. Alcoolisé chronique, travaille
lent du poison. Il conserve l'écho des hallucinations.
Amaigrissement, yeux chassieux, etc. soif vive, vomissement. Le
mannequin. L'immoralité accepte. Il pâlit, s'affaisse,
reste comateux, puis paralysé d'un bras un jour. Affaiblissement
intellectuel. Cinq ou dix fois à l'asile. Le corps imbibé
d'alcool. La vue baisse. Sensiblerie. Déchire ses vêtements.
Le tremblement des membres rythmique. Vieillesse précoce.
L'allure et la parole changés, saccadés. La mémoire
perdue. Hébété après les accès.
Irritable, inquiet. L'hérédité le prédisposant.
Symptômes à voir (168). Il s'alite parfois, boit
pour se guérir. Maux de tête, étourdissement.
Les aliments vinaigrés et épicés. Douleurs
dans les bras et les jambes, il s'assoit la nuit.
Enfin la grande maladie, le grand morceaux qui précède
la mort. Tout le delirium tremens. Après des excès
de boisson, l'accès. Fou, s'agitant. Puis stupide. Le tremblement
qui gagne tout le corps. Les pieds qui passent et qui s'agite dans
le sommeil. Un portrait de Coupeau mort, regardé par Gervaise.
Elle est là, à l'agonie. Son état de couvreur
dans les hallucinations. Lantier. Gueulant, suant, sautant. La tisane
sent le vin. La camisole. Quatre jours de cris et de tremblements.
Portrait à prendre (141).
Voir les notes pour le grand tableau.
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