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Dernière étape avant la signature
du "bon à tirer ", la correction des épreuves représente un moment capital
dans la réalisation d’un ouvrage. Un interlocuteur nouveau – l’imprimeur
ou le typographe – s’introduit dans le circuit. Le "brouillon" passe en
d’autres mains. Il se clarifie et se transforme en "épreuve" ouverte à
d’ultimes retouches plus qu’à de véritables transformations.
Le cas
de Balzac est exceptionnel : les feuillets composés par les typographes
ne stoppent pas son processus d’écriture. L’écrivain les noircit et les
métamorphose de nouveau en brouillons.
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