Michèle Faivre, dompteuse et Cyril Casmeze, acrobate zoomorphe
No animo mas anima
3e création du Cirque Plume, janvier 1993
Écriture du spectacle et scénographie Bernard Kudlak
© Cirque Plume
La question de l’animalité taraude les concepteurs depuis les rats dressés du Baron Aligre jusqu’aux créatures étranges de la Ménagerie Mécanique…
Avec No animo mas anima, le Cirque Plume en livre une version crue, à la fois pleine de dérision et d’une certaine forme de tendresse nostalgique pour une complicité possible entre deux partenaires du même règne : l’humain et la bête, définie comme un chien, mais que d’aucuns considèrent aussi comme un ours, un lion, voire un sanglier, offrent une savoureuse séquence parodique, criante de vérité, et d’une évidence qui fait... mouche ! Cyril Casmeze et Michèle Faivre sont impeccables dans ces drôles de rôles de composition, réinventant les artifices et les codes de la discipline, toujours justes et, il faut bien l’avouer, aussi surprenants dans leurs oripeaux respectifs que pourraient l’être un fauve et sa dompteuse… PJ
Avec No animo mas anima, le Cirque Plume en livre une version crue, à la fois pleine de dérision et d’une certaine forme de tendresse nostalgique pour une complicité possible entre deux partenaires du même règne : l’humain et la bête, définie comme un chien, mais que d’aucuns considèrent aussi comme un ours, un lion, voire un sanglier, offrent une savoureuse séquence parodique, criante de vérité, et d’une évidence qui fait... mouche ! Cyril Casmeze et Michèle Faivre sont impeccables dans ces drôles de rôles de composition, réinventant les artifices et les codes de la discipline, toujours justes et, il faut bien l’avouer, aussi surprenants dans leurs oripeaux respectifs que pourraient l’être un fauve et sa dompteuse… PJ
Images liées
BnF, Éditions multimédias, 2021