Edoardo Raspini, jonglage à la Rastelli
Cirque Krone en tournée, vers 1955
Centre national des arts du cirque, archives Tristan Rémy
© D.R.
Né en 1928, trois ans avant le décès prématuré d’Enrico Rastelli (1896-1931), Edoardo Raspini, d’origine italienne également, se produit dès l’enfance dans la troupe d’acrobates et de jongleurs de ses parents. Formé comme sauteur et équilibriste, entrainé aux différentes routines d’un jonglage « à la Rastelli » il offre bientôt en solo des performances très enlevées, qui mixent jonglage périodique à plusieurs objets lancés et rattrapés avec vélocité d’une main et équilibres périlleux de ballons et de bâtonnets de l’autre main, ou d’un pied.
Infatigable, il enchaîne les saisons dans les cirques stables et les music-halls et les tournées sous les chapiteaux comme celui du grand cirque allemand Krone. Il est le premier jongleur, en 1962, à recevoir le Trophée Rastelli, à Bergame, la ville d’Enrico Rastelli. C’est l’épouse du jongleur, Henriette Rastelli (issue de la famille Price, artistes anglais, musiciens et jongleurs), qui le lui remet à la clôture du Festival Internazionale de Giocoliere.
Infatigable, il enchaîne les saisons dans les cirques stables et les music-halls et les tournées sous les chapiteaux comme celui du grand cirque allemand Krone. Il est le premier jongleur, en 1962, à recevoir le Trophée Rastelli, à Bergame, la ville d’Enrico Rastelli. C’est l’épouse du jongleur, Henriette Rastelli (issue de la famille Price, artistes anglais, musiciens et jongleurs), qui le lui remet à la clôture du Festival Internazionale de Giocoliere.
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BnF, Éditions multimédias, 2021