Honneur des clowns ou Un drame au cirque
Film, avec Ilès, Charley Meyer, Mylos, etc., 1912
Centre national des arts du cirque, archives Tristan Rémy
© D.R.
Tourné en 1912 avec des clowns de la troupe du Nouveau Cirque de la rue Saint-Honoré, le film à deux titres réunit sur la même photographie, la victime, à terre, Michel Sellier interprété par le beau-frère d’Orlando Averino, entouré, de gauche à droite par Charley Meyer et Lavata, augustes, et le clown Bijou.
Dans n° 68 de la revue Archives (2001) consacré aux acrobates du rire, le chroniqueur Jacques Richard présente l’univers du cirque comme un espace privilégié, investi par les premiers créateurs de films dramatiques pour son caractère présumé pittoresque et propice au développement d’intrigues romanesques plus ou moins sombres. Dans la période d’implantation du tout nouveau cinématographe en France, le spectacle de cirque, ses performances, les personnalités des clowns « ne souffraient d’aucun discrédit, au contraire. Puisqu’il pouvait s’accommoder du silence, le cirque constituait une potentielle source d’inspiration, une abondante réserve d’idées et d’hommes. » Jacques Richard (p. 1). MM
Dans n° 68 de la revue Archives (2001) consacré aux acrobates du rire, le chroniqueur Jacques Richard présente l’univers du cirque comme un espace privilégié, investi par les premiers créateurs de films dramatiques pour son caractère présumé pittoresque et propice au développement d’intrigues romanesques plus ou moins sombres. Dans la période d’implantation du tout nouveau cinématographe en France, le spectacle de cirque, ses performances, les personnalités des clowns « ne souffraient d’aucun discrédit, au contraire. Puisqu’il pouvait s’accommoder du silence, le cirque constituait une potentielle source d’inspiration, une abondante réserve d’idées et d’hommes. » Jacques Richard (p. 1). MM
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BnF, Éditions multimédias, 2021