La troupe équestre des Sobolewski
Pas-de-deux équestre au cirque Pinder, démonstration à l’extérieur
Saison 1933
BnF, département des Arts du spectacle, 4-COL-180 (150)
© Bibliothèque nationale de France
Issu d’une famille de dresseurs hongrois, Charles Spessardy francise son nom en Spiessert pour troquer la ménagerie puis le petit cirque familial contre celui des frères Pinder, qu’il reprend en 1928. Il modernise les installations d’un établissement qui était resté hippomobile et le dote d’une flotte de camions aptes à prendre la route avec un matériel également renouvelé.
Ingénieur dans l’âme, il commande pour la saison 1932 une piscine en bâche caoutchoutée cerclée de bois, des pompes et un jeu de canalisations pour transformer l’arène en piste nautique pour la deuxième partie de spectacle.
Parmi les numéros équestres et acrobatiques de la première partie du Cirque sous l’eau, se produit la troupe des Sobolewski qui figurait à l’affiche du Cirque d’Hiver en novembre 1932. Acrobates équestres, ils travaillent élévations, portés, voltige à la Richard et Jockey sur des chevaux lourds choisis pour supporter et réceptionner sans dommage des écuyers en plein élan, qui sautent chacun à leur tour ou ensemble sur leur dos ou leur croupe.
Derrière le groupe des trois Sobolewski qui effectue un pas-de-deux équestre, se distingue le haut des tentes de l’écurie et sur la gauche, au flanc d’un camion-citerne, une partie de l’inscription qu’on suppose peinte en rouge et noir sur fond jaune : « Pinder » et « nautique ».
Ingénieur dans l’âme, il commande pour la saison 1932 une piscine en bâche caoutchoutée cerclée de bois, des pompes et un jeu de canalisations pour transformer l’arène en piste nautique pour la deuxième partie de spectacle.
Parmi les numéros équestres et acrobatiques de la première partie du Cirque sous l’eau, se produit la troupe des Sobolewski qui figurait à l’affiche du Cirque d’Hiver en novembre 1932. Acrobates équestres, ils travaillent élévations, portés, voltige à la Richard et Jockey sur des chevaux lourds choisis pour supporter et réceptionner sans dommage des écuyers en plein élan, qui sautent chacun à leur tour ou ensemble sur leur dos ou leur croupe.
Derrière le groupe des trois Sobolewski qui effectue un pas-de-deux équestre, se distingue le haut des tentes de l’écurie et sur la gauche, au flanc d’un camion-citerne, une partie de l’inscription qu’on suppose peinte en rouge et noir sur fond jaune : « Pinder » et « nautique ».
Images liées
BnF, Éditions multimédias, 2021