Guertner, grotesque
Théâtre du Cirque Olympique
Paris, vers 1824
Chez Hautecœur-Martinet (Paris)
BnF, département des Arts du spectacle, 4-ICO CIR-84
© Bibliothèque nationale de France
Guertner, Guerdener, Guertener, Gaertner ou en Allemand Gärtner, est désigné comme le premier grotesque du cirque. L’acrobate sauteur, contorsionniste, équilibriste, jongleur, écuyer et même chanteur, paraît pendant trente ans dans les programmes de plusieurs cirques français.
En octobre 1823, à l’affiche du Théâtre-Cirque Olympique des Franconi, l’ancien amphithéâtre d’Astley rue du Faubourg-du-Temple, il est célébré dans la presse de son époque, La Pandore et Le Courrier des Théâtres.
La Semaine du 13 avril 1828, relate une soirée à l’opéra où se sont « succédé plusieurs exercices choisis du manège [du Cirque Olympique], dans lesquels figuraient l’élite des écuyers, Paul, Bastien. Guertner surtout a déployé une grande souplesse sur le tremplin. »
Le Figaro note au Cirque Olympique de Rouen, le 27 juillet 1828, « les bouffonneries de Guertener », élément de la troupe du Cirque Olympique des Franconi, sans doute conduite par Bassin père.
Le Journal des Artistes et des Amateurs du 16 octobre 1831, relate une représentation de la pantomime L’Empereur, au Cirque (…) où « le Clown Guertner fait dans le manège des exercices surprenants » marquant ainsi pour l’une des premières fois l’emploi du terme ‟clownˮ pour remplacer celui de ‟grotesqueˮ ».
L’Argus du 8 mai 1852 et Le Nouvelliste du 15 juillet 1853 évoquent sans doute ses derniers passages en piste au Cirque National des Champs-Élysées et au Cirque Napoléon.
En octobre 1823, à l’affiche du Théâtre-Cirque Olympique des Franconi, l’ancien amphithéâtre d’Astley rue du Faubourg-du-Temple, il est célébré dans la presse de son époque, La Pandore et Le Courrier des Théâtres.
La Semaine du 13 avril 1828, relate une soirée à l’opéra où se sont « succédé plusieurs exercices choisis du manège [du Cirque Olympique], dans lesquels figuraient l’élite des écuyers, Paul, Bastien. Guertner surtout a déployé une grande souplesse sur le tremplin. »
Le Figaro note au Cirque Olympique de Rouen, le 27 juillet 1828, « les bouffonneries de Guertener », élément de la troupe du Cirque Olympique des Franconi, sans doute conduite par Bassin père.
Le Journal des Artistes et des Amateurs du 16 octobre 1831, relate une représentation de la pantomime L’Empereur, au Cirque (…) où « le Clown Guertner fait dans le manège des exercices surprenants » marquant ainsi pour l’une des premières fois l’emploi du terme ‟clownˮ pour remplacer celui de ‟grotesqueˮ ».
L’Argus du 8 mai 1852 et Le Nouvelliste du 15 juillet 1853 évoquent sans doute ses derniers passages en piste au Cirque National des Champs-Élysées et au Cirque Napoléon.
Images liées
BnF, Éditions multimédias, 2021