Dès les premières parutions, la réception de la part des lecteurs est très favorable. Dans son numéro du 4 juin 1785, Le Mercure galant qualifie l’accueil du public "d’empressé" et ajoute que cela est parfaitement normal puisque Le Cabinet des fées est constitué "d’ouvrages inestimables". Les très belles gravures y ont également contribué.