
Mêlant
les croyances populaires au rationalisme du Grand Siècle, apparaît,
dans l’abondante production littéraire du conte merveilleux, la figure
classique de la "fée de lumière". Celle-ci n’est pas
nécessairement un personnage bénéfique : il y a de bonnes et de
mauvaises fées.
|