La police du jeu contrôle, réprime ou tolère suivant les périodes, de très nombreuses maisons de jeux clandestines. Situées pour la plupart dans le quartier du Palais-Royal et de la rue Saint Honoré, ces maisons tenues la plupart du temps, par des femmes, veuves ou épouses de militaires, restaient parfois ouvertes toute la nuit.