Sirène ailée jouant de la flûte | ||||
Richard de Fournival, Response
au Bestiaire d'Amours. Paris, vers 1285. BNF, Manuscrits, Fr 412 fol 240 |
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Au cours des siècles, les sirènes se métamorphosent sans perdre leur maléfice. Oiseaux à tête humaine chez les Grecs, ces créatures fantastiques s'humanisent au cours de l'Antiquité pour devenir des femmes ailées chez les Romains. Pour pouvoir jouer de la musique et accompagner leur chant, elles vont acquérir des bras puis une poitrine humaine. | ||||