Arbres morts et bouleaux. Quinet. Vers 1868. | ||||
Cette épreuve parmi d'autres représente l'atroce convulsion du monde végétal que la roche étrangle et lacère. Des images pareilles se fixent dans la mémoire de Coriolis : "Il s'enfonçait dans les fougères, presque aussi hautes que lui, faisait craquer sous son pied la mousse grillée et grésillante, se glissait entre des écartements de roc, marchait sous des tortils d'arbres étouffés, étranglés entre deux blocs et poussant de côté une branche sans feuille qui courait en l'air comme une mèche de fouet" (Goncourt). |
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