Verdure. Cuvelier. Vers 1863. | ||||
Nous voici devant un analogon des tapisseries qu'on appelle verdures parce que le feuillage y tient la plus grande place. Cuvelier y révèle une sensibilité diamétralement opposée à l'intellectualisme. Il y montre la forêt dans sa luxuriance en s'attardant sur l'infinie multiplicité des détails d'une végétation exubérante et entremêlée sous la voilette posée par le soleil. La Société française de photographie possède deux épreuves de la même veine, montées sur des cartons annotés, "Belle Croix 14bre 1863" pour l'une, "22 8bre 1863" pour l'autre. |
||||