Chênaie en hiver. Famin. Vers 1874. | ||||
Candélabres d'une avenue enchantée que ces "chênes rugueux, énormes, qui se convulsaient, s'étiraient du sol, s'étreignaient les uns les autres, et, fermes sur leurs troncs, pareils à des torses, se lançaient avec leurs bras nus des appels de désespoir, des menaces furibondes, comme un groupe de Titans immobilisés dans leur colère." (Flaubert). |
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