Maquette d'hélicoptère de Ponton d'Amécourt, avec parachute
Félix Nadar, d'après un négatif de 1863
Épreuve sur papier albuminé d’après un négatif sur verre au collodion, 33,6 × 27 cm
BnF, département des Estampes et de la Photographie, EO-15 (11)-FOL
© Bibliothèque nationale de France
À la suite de sa rencontre avec le vicomte Ponton d’Amécourt, fervent promoteur de l’hélice qui devait permettre de « s’élever dans l’air et de s’y diriger au moyen d’appareils plus lourds que l’air », Félix Nadar fonde la « Société d’encouragement pour la locomotion aérienne au moyen d’appareils plus lourds que l’air ». Les prototypes des « spiralifères », sortes de petits hélicoptères conçus par Ponton d’Amécourt sont présentés dans l’atelier de Nadar lorsqu’il expose son « Manifeste de l’autolocomotion aérienne » le 30 juillet 1863.
« C’est l’hélice – la Sainte-Hélice ! Comme me disait un jour un mathématicien illustre – qui va nous emporter dans l’air ; c’est l’hélice, qui entre dans l’air comme la vrille entre dans le bois, emportant avec elles, l’une son moteur, l’autre son manche. »
Félix Nadar, Mémoires du Géant : à terre & en l'air, 1864, p. 136
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« C’est l’hélice – la Sainte-Hélice ! Comme me disait un jour un mathématicien illustre – qui va nous emporter dans l’air ; c’est l’hélice, qui entre dans l’air comme la vrille entre dans le bois, emportant avec elles, l’une son moteur, l’autre son manche. »
Félix Nadar, Mémoires du Géant : à terre & en l'air, 1864, p. 136
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