Au centre d'un enclos délimité par un arc de cercle, le cartographe a représenté des scènes de la vie des indigènes du Brésil, parmi lesquelles les curieuses et cruelles scènes de cannibalisme et de "boucan", terme qui a donné le mot de "boucaner", fumer la viande. Des hommes et des femmes mettent à cuire un corps humain démembré. Le texte explique la scène : "c'est en manière de grille qu'ils font de bois planté par quatre fourches et font rôtir leurs prisonniers et les mangent et les appellent boucan".