L’anecdote prit tout son sens par la suite, lorsque ses actions mirent à jour son vrai visage. Le jour des premières vraies fausses élections organisées après la fuite du Chah, une urne avait été déposée chez l’ayatollah. C’est chez lui que j’ai trouvé sa carte d’identité. Sur la photo vieillie, il avait le même regard glacé.