L’Écume des jours
Boris Vian, France, 1946.
Manuscrit autographe
BnF, Manuscrits, NAF 28157 (Fonds Boris Vian) f. 118
© Société Nouvelle des Editions Pauvert 1979, 1996 et 1998
© Librairie Arthème Fayard, 1999 pour l’édition en œuvres complètes
Colin, inquiet de voir Chloé malade, se met à pleurer alors qu’il raccompagne le professeur Mangemanche : « Il se mit à pleurer tout à coup, car il savait que Chloé avait mal ». Cette sensibilité de Colin son dévouement à sa femme malade, font de L’Écume des jours « le plus poignant des romans d’amour contemporains », selon l’appréciation de Raymond Queneau dans sa préface à L’Arrache-cœur en 1953.