demoiselle de magasin, comme à la plus digne ; d'ailleurs, je
pourrai étudier dans cette nature honnête les révoltes
et la jalousie ; il faudrait aussi qu'à un moment elle ne paraisse
plus s'occuper directement du magasin, mais qu'elle reste derrière
comme une force modératrice.
Si au contraire je ne la garde pas, il faut que je donne à Octave
la propriété entière du magasin. Cela aurait le
bon côté de n'avoir qu'un homme à la tête,
sur ce peuple de femmes. Et alors je pourrai chercher le sujet dans
cette idée générale et philosophique : Octave exploitant
la femme, puis vaincu par la femme. Mais cela très gai. Il aurait
la maîtresse du banquier, dont il tirerait tout ce qu'il voudrait,
puis à la fin serait pris par la fille de la
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