est là, décidément. Le double mouvement
: Octave faisant sa fortune par les femmes, exploitant la femme, spéculant
sur sa coquetterie, et à la fin, quand il triomphe, se trouvant
lui-même conquis par une femme, qui n'y a mis aucun calcul, qui
l'a conquis par sa force de femme.
C'est un type superbe de grâce et d'honnêteté à
créer. Pour le drame, cette femme peut être aimée
de quelque employé, et faire souffrir mille tourments à
Octave qui s'est pris peu à peu de passion pour elle. Trouver
là des scènes simples et puissantes. La femme très
sympathique ; d'abord misérable, humiliée par tous, commis
et clientes, par Octave lui-même, et peu à peu l'histoire
de la pas
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