Douze portraits de Denise

Denise

> L'entretien de recrutement
La modestie de Denise, son portrait physique, son origine, son sourire.

> Premier jour
Denise est transformée en mannequin face à une femme du monde : le dénuement modeste, les moqueries, le courage, la responsabilité familiale.

> L'obstination
Le chemin de croix pour s'imposer dans un rayon qui la refuse et s'acharne.

> La vertu à l'épreuve
Une vierge effarouchée mais qui tient bon, malgré la misère et les offres malhonnêtes : elle est celle qui ne ressemble pas aux autres.

> Le dédain de l'argent, la pureté des sentiments
Un amour à deux entrées entre Denise et Octave : la réussite financière mise en avant par Octave, la recherche de l'amour par Denise.

> L'amour
Denise croit à la pureté des sentiments.

> Le rayon conquis
Dix mois après le début du roman, Denise a sa place, résultat de ses qualités personnelles... et des faveurs de Mouret.

> Éloge de la vertu
Un face à face avec une femme du monde, maîtresse de Mouret, et sous les yeux de celui-ci, qui s'achève par la victoire de Denise, c'est-à-dire le triomphe de la modestie vertueuse.

> L'autorité naturelle
Denise ou l'autorité qui s'impose naturellement et sans blesser, la prédiction finale de Pauline sur son brillant avenir.

> Denise au sommet
La progression se poursuit, l'ascension dans le magasin devient le symbole de l'élévation sociale. L'insistance sur la bonté profonde de Denise : ni triomphalisme, ni profit.

> Porte-parole de ses pairs
Les idées de Denise suggérées à Mouret dans le sens d'un mieux-être social révèle également l'influence de l'idée de phalanstère.

> Messagère de Zola ?
Un discours social est attribué à Denise : une réflexion sur la force du progrès, ses dangers et ses limites, l'influence néfaste sur la vie de l'individu.