Yukihiro Suzuki, manipulation en double du yo-yo
Cabaret des anciens étudiants du CNAC lors du Festival Furies, juin 2005
© Photo Philippe Cibille pour le CNAC
Étudiant de la 18e promotion du Cnac (sortie en 2007), Yukihiro Suzuki, par sa technique impeccable, redonne au yo-yo une place véritable dans l’éventail des objets supports aux jeux d’adresse qui ont accompagné l’histoire du cirque et du divertissement.
Un site spécialisé dans la vente de tout ce qui constitue l’environnement du yo-yo, restitue une histoire de ce petit objet qui remonterait à l’Antiquité, si on en croit le motif d’un vase grec du Ve siècle avant notre ère. Composé de deux hémisphères de bois précieux, de cristal ou de métal, ciselé, décoré, serti de pierres, mû par une fine cordelette clouée et enroulée entre ses deux parties, il est appelé selon les époques et les pays « le bandalore », « l’émigrette » ou « Filippino yoyo » par Pedro Flores…
Nos ancêtres les chasseurs-cueilleurs auraient observé et reproduit l’enroulement et le déroulement rapide de la langue des caméléons lancée sur une proie en inventant un premier prototype de yo-yo en pierre…
Les artistes visuels japonais arrivés en Europe à la fin du XIXe siècle apportent le yo-yo dans leurs bagages avec le diabolo et le taiko, bâtonnet qui reçoit, renvoie et fait tourner des balles de laine. À l’époque contemporaine il est objet de compétitions dans lesquelles brille Yukki Yoyo, un parfait technicien de la manipulation d’objets qui a manifesté un jour le désir de faire découvrir et intégrer son art dans l’univers du cirque. MM
Un site spécialisé dans la vente de tout ce qui constitue l’environnement du yo-yo, restitue une histoire de ce petit objet qui remonterait à l’Antiquité, si on en croit le motif d’un vase grec du Ve siècle avant notre ère. Composé de deux hémisphères de bois précieux, de cristal ou de métal, ciselé, décoré, serti de pierres, mû par une fine cordelette clouée et enroulée entre ses deux parties, il est appelé selon les époques et les pays « le bandalore », « l’émigrette » ou « Filippino yoyo » par Pedro Flores…
Nos ancêtres les chasseurs-cueilleurs auraient observé et reproduit l’enroulement et le déroulement rapide de la langue des caméléons lancée sur une proie en inventant un premier prototype de yo-yo en pierre…
Les artistes visuels japonais arrivés en Europe à la fin du XIXe siècle apportent le yo-yo dans leurs bagages avec le diabolo et le taiko, bâtonnet qui reçoit, renvoie et fait tourner des balles de laine. À l’époque contemporaine il est objet de compétitions dans lesquelles brille Yukki Yoyo, un parfait technicien de la manipulation d’objets qui a manifesté un jour le désir de faire découvrir et intégrer son art dans l’univers du cirque. MM
Images liées
BnF, Éditions multimédias, 2021