Prince Rigadin (1872-1933) en Arlequin, dans Les femmes collantes de Georges Monca
Avec sur sa gauche, Baron fils et à sa droite Simonne Joubert
1919
© Collection Jacques Richard
Charles Prince est le pseudonyme le plus utilisé pour désigner Charles-Ernest-René Petitdemange mais il paraît à l’écran en France à partir de la fin de l’été 1910 sous le nom de Rigadin, alors qu’au music-hall en Grande-Bretagne il répond au surnom de Wiffles, Moritz en Allemagne, Tartufini en Italie, Petter en Suède, Vendelby au Danemark ou Salustrino en Espagne. Acteur au théâtre et au cinéma, chanteur, réalisateur, « il ne connaît que des succès », écrit Jacques Richard dans le numéro 92 d’Archives, la revue de l’Institut Jean Vigo, sous le titre de « Prince Rigadin et son monde », qui lui est consacré en novembre 2002.
Le film Les femmes collantes, réalisé par Georges Monca, est la première adaptation à l’écran de l’opéra-bouffe de Léon Gondillot, tourné en 1919, et repris en 1938 par Pierre Caron. C’est la fin de la collaboration entre Charles Prince et Georges Monca, qui commence en 1910. Rigadin rat d’hôtel, 1912, Rigadin peintre cubiste, 1912, Le Nez de Rigadin, 1911, et Rigadin a l’œil fascinateur, 1910, sont disponibles à la Bibliothèque nationale.
Le film Les femmes collantes, réalisé par Georges Monca, est la première adaptation à l’écran de l’opéra-bouffe de Léon Gondillot, tourné en 1919, et repris en 1938 par Pierre Caron. C’est la fin de la collaboration entre Charles Prince et Georges Monca, qui commence en 1910. Rigadin rat d’hôtel, 1912, Rigadin peintre cubiste, 1912, Le Nez de Rigadin, 1911, et Rigadin a l’œil fascinateur, 1910, sont disponibles à la Bibliothèque nationale.
Images liées
BnF, Éditions multimédias, 2021