Les Saltimbanques
Lithographie d’Émile Vernier d’après un dessin de Gustave Doré, 1867
Eau-forte, 50,6 x 37,9 cm
BnF, département des Estampes et de la photographie, AA-4 (DORÉ, Gustave)
© Bibliothèque nationale de France
Cette œuvre singulière de Gustave Doré, conçue comme une galerie de portraits puissants et attachants, est une évocation d’un temps suspendu, ces instants avant ou après la représentation, un peu comme une anticipation de la composition de Fernand Pelez (1848-1913) : Grimaces et Misère - Les saltimbanques, peinte en 1888 (Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris–Petit Palais).
Cette gravure préfigure la toile éponyme, peinte en 1874, où Gustave Doré développe et décline le thème des saltimbanques d’une manière différente de celle de ses contemporains, intitulant ses œuvres, selon les versions, Les Saltimbanques, La Famille du saltimbanque, l’enfant blessé (1853), ou La Victime.
Cette gravure préfigure la toile éponyme, peinte en 1874, où Gustave Doré développe et décline le thème des saltimbanques d’une manière différente de celle de ses contemporains, intitulant ses œuvres, selon les versions, Les Saltimbanques, La Famille du saltimbanque, l’enfant blessé (1853), ou La Victime.
BnF, Éditions multimédias, 2021