Jongleurs et acrobates en Inde
Les Hindous de Georges Bernard Depping et Frans Balthazar Solvyns, tome 3, planche 57
Gravure Frans Balthazar Solvyns
Édité chez F. B. Solvyns et H. Nicolle (Paris), entre 1808 et 1812
Édité chez F. B. Solvyns et H. Nicolle (Paris), entre 1808 et 1812
Lithographie couleur, 48 x 35 cm
BnF, RÉSERVE Bibliothèque Musée de l’Homme. Musée de l’Homme. DS 421 S 69 t1 à 4
© Bibliothèque nationale de France
En Inde, les pratiques mettant en jeu le corps participent le plus souvent de coutumes sacrées. Il est probable que l’historien français Georges-Bernard Depping et l’illustrateur belge Frans Balthazar Solvyns, qui réside dix ans à Calcutta à la fin du XVIIIe siècle, aient rencontré ces artistes d’agilité soit dans le cadre de fêtes de village, soit lors de cérémonies plus ou moins religieuses.
Reproduits dans une même planche, fakir maniant le fer et le feu, jongleurs de balles et jongleurs de force ou bateleurs, sont tous désignés sous le terme générique de « jongleurs » selon la coutume occidentale héritée du Moyen Âge.
Reproduits dans une même planche, fakir maniant le fer et le feu, jongleurs de balles et jongleurs de force ou bateleurs, sont tous désignés sous le terme générique de « jongleurs » selon la coutume occidentale héritée du Moyen Âge.
Images liées
BnF, Éditions multimédias, 2021