Pour
la scène de dévoration comme pour celle de la rencontre, Gustave Doré
dessine le loup vu de dos. L’action est saisie juste au moment où la
bête, dressée, saute sur le lit.
La scène gagne en dramatisation par le jeu de détails (chat se
précipitant sous le lit, chute de la tabatière et des lunettes).
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