Case 4 : le repos du guerrier
La quatrième case voit M. Vertpré "s'affliger de l'inutilité de son dévouement", les yeux rivés au sol, en proie à une grande réflexion, alors que Melle d'Espagnac est toujours en train de se noyer. Cette deuxième bande se compose d'un ensemble de scènes plus statiques que la première et met en opposition les deux personnages de cette histoire : d'un côté M. Vertpré dont le nom, sous la plume de Töpffer, se réduit progressivement (de Vertpré on passe à V.pré puis à la simple initiale V.) comme pour bien marquer la vacuité du personnage – ou pour gagner de la place pour le dessin. De l'autre Melle d'Espagnac, qui se rend compte de l'inefficacité de son compagnon.