La Course aux trapèzes
Partition d’un galop pour piano par Henry Boizot, illustrée par Achille-Désiré Lefèvre (1798-1864)
Paris, chez Boizot père, 1860
Papier, 8 p., 35 cm
Papier, 8 p., 35 cm
BnF, département de la Musique, N-6008
© Bibliothèque nationale de France
Cette partition musicale du galop dédié à Jules Léotard, écrite par Henry Boizot, porte le nom du numéro historique de Jules Léotard, l’inventeur du trapèze volant : La Course aux trapèzes.
Présentée pour la première fois au Cirque Napoléon, l’actuel Cirque d’Hiver de Paris, le 12 novembre 1859, l’engouement soulevé par la prouesse et la ferveur que provoque son interprète, un bel homme, jeune, presque nu dans son maillot moulant, génèrent créations artistiques et articles divers dédiés à l’exploit.
Au XXIe siècle, la Course aux trapèzes, où l’acrobate s’élance dans une formidable impulsion d’un bâton à un autre bâton, est dépassée, mais le nom de « léotard » est toujours vivace. Il s’applique au maillot complet, près du corps, dont Jules Léotard portait le premier prototype, adopté depuis par les acrobates du monde entier.
Présentée pour la première fois au Cirque Napoléon, l’actuel Cirque d’Hiver de Paris, le 12 novembre 1859, l’engouement soulevé par la prouesse et la ferveur que provoque son interprète, un bel homme, jeune, presque nu dans son maillot moulant, génèrent créations artistiques et articles divers dédiés à l’exploit.
Au XXIe siècle, la Course aux trapèzes, où l’acrobate s’élance dans une formidable impulsion d’un bâton à un autre bâton, est dépassée, mais le nom de « léotard » est toujours vivace. Il s’applique au maillot complet, près du corps, dont Jules Léotard portait le premier prototype, adopté depuis par les acrobates du monde entier.
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BnF, Éditions multimédias, 2021